Retour au commencement...[PV François]

Francois se réveilla de son grand sommeil, cette chambre de la taverne était assez luxueux mais pas autant que le château de Hartcourt.
Le jeune homme se leva de son lit et s'habilla, se coiffa et se lava. Le jeune homme qui semblait prêt, descendit les escaliers de la taverne pour arriver au bar, les tables étaient toute prisent.
C'est alors qu'il vit une charmante demoiselle aux cheuveux blond assis avec un étrange homme qui avait l'air de vivre dans les rues.

-Bonjour, cette place est-elle libre ?

L'homme lui regarda avec un air d'agression, contrairement à la demoiselle qui souriait à Francois.

-Oui bien sur.

Le jeune homme s'assoia, mais l'homme qui était avec la fille regardait Francois de travers.

-Excusez-moi monsieur, on c'est déjà vu ?

L'homme s'énerva et tapa d'un coup fort sur la table, celle-ci se mit à trembler fortement, mais Francois la retenit.

-Tu est Francois de Hartcourt ! C'est à cause de tes parents que je suis dans cet état-là aujourd'hui, car avant j'étais beau et riche !

La charmante demoiselle qui n'avait pas l'air dans ce sujet intervenit aussitôt pour calmer l'homme qui était très en colère contre le jeune homme, l'homme se leva, il avait l'air de péter les plombs contre Francois de Hartcourt.

-Monsieur, calmez-vous je vous pris !

L'homme poussa la demoiselle, celle-ci tomba et tous les gens de la taverne regardaient l'embrouille qui les gênait. L'homme alla donner un coup de poing à Francois, para son coup et redonna un grand coup de poing dans le ventre de l'homme, celui-ci fut éjecté contre le mur. Tout le monde regardait Francois et quelques gens allèrent aider l'homme, mais il était inconsient.
Le jeune homme s'approcha de la fille et tendit sa main pour la relever.

-Charmante demoiselle, vous n'avez rien ?

[Désolée du retard!]

La personne qui descendit les marches étaient un jeune homme aux cheveux blond moyennement court et en bataille, habillé plutôt bien pour quelqu'un fréquentant les bars des rues d'Hyrule. Fronçant les sourcils quelque peu, Maryne observa du coin de l'oeil l'inconnu qui s'approcha d'une table occupée par une jeune femme aux cheveux blond vénitien, aux yeux d'un bleu marqué et à l'air un peu idiote mais bien proportionnée et par un homme aux habits délabrés et mal rasé. Apparemment, il ne devait pas dormir souvent dans un lit.

-Bonjour, cette place est-elle libre ?

La jeune femme lui sourit d'un air béat alors que l'homme, pas du tout enchanté, lui lançait un regard noir. Pas très social comme type. Quant à la fille, on voyait qu'elle trouvait le jeune homme charmant.

-Oui bien sûr.

Le nouveau venu s'assit, alors que la demoiselle le dévorait des yeux et que l'homme lui lançait un regard peu avenant. On aurait dit que ce dernier était près à lui sauter dessus.

-Excusez-moi monsieur, on c'est déjà vu ?

S'en fut apparemment trop pour l'homme qui tapa fortement sur la table, surprenant les autres clients et en affolant quelques uns, peu habitués des bagarre, et le meuble trembla. Le tavernier sembla d'ailleurs craindre pour l'état de son mobilier.

-Tu est François de Hartcourt ! C'est à cause de tes parents que je suis dans cet état-là aujourd'hui, car avant j'étais beau et riche !

François de Hartcourt...ce nom lui disait quelque chose. Eum...qui était-il déjà? Ah oui! Les Hartcourt était une famille noble renommée à Hyrule, surtout pour ses liens avec la famille royale. Mais si le jeune homme était aussi riche et réputé, que faisait-il dans un tel endroit? Prête à intervenir, elle continua à observer la scène, curieuse de la manière dont il s'en sortirait.

La jeune femme assise près de l'homme qui avait éclaté de rage intervint pour calmer ce dernier, qui était dans une colère noire. Malheureusement, pas du tout calmer, il se leva brusquement.

-Monsieur, calmez-vous je vous pris !

À bout de nerfs, l'homme poussa la femme aux cheveux blond sans plus de façon et cette dernière tomba rudement sur le sol. La bagarre continua, mais fut de courte durée; après un coup porter par l'homme et bloquer par le jeune Hartcourt, ce dernier frappa un grand coup dans le ventre de son adversaire, l'envoyant valser contre le mur. Calmement, Maryne se leva et rejoignit les gens qui observaient l'agresseur, inconscient. En tout cas, si il souhaitait redevenir comme avant, cet homme n'avait pas aidé à sa cause. La jeune guerrière écarta les autres clients et s'accroupit pour regarder la victime inconsciente, alors que derrière elle François demandait à la jeune femme:

-Charmante demoiselle, vous n'avez rien ?

En tout cas, la jeune femme aux yeux bleus sembla tomber encore plus sous son charme. Maryne se releva, de profil au jeune homme, croisa les bras et demanda à ce dernier:

-Joli coup...mais je suppose que ce n'est pas très commun aux Hartcourt.

Cette phrase sonnait très exactement comme une provocation. Elle désirait aussi savoir ce que le jeune homme faisait ici, dans une taverne fréquentée par des gens de réputation moindre.

[HRP] : (dsl pour le retard)

Demoiselle : Jolie coup...mais je suppose que ce n'est pas très commun aux Hartcourt.

La jeune demoiselle connaissait la noble famille deHartcourt, Le jeune homme voulait vraiment savoir comment elle connaissait les Harcourt, surtout que le chateau de cette noble famille d'aristocrate était maitenant sous la possession du cavalier noir qui a fait son entré dans le château il y a longtemps. Cependant la fille avait posé une question à Francois.

Mikau : (soupir) Mademoiselle, comment connaissez-vous la famille de Hartcourt ?

[HRP] : (dsl, ce n'est pas très long mais je manque d'inspiration)

[C'est pas grave]

Apparemment, cette remarque provocatrice déplut au jeune Hartcourt, car le soupir qu'il poussa sembla plutôt découragé.

Mademoiselle, comment connaissez-vous la famille de Hartcourt ?

Haussant négligemment les épaules, Maryne s'approcha légèrement, gardant peut-être une distance d'un mètre. Les gens dans la taverne hésitait sur ce qu'ils devaient faire. Après tout, c'était un noble, et plusieurs dans cette taverne négligeait les impôts et plusieurs autres chose dont il avait mieux que les gens haut placés n'entendent pas parler.

-Eh bien, je dois dire que la plupart des gens ici doivent connaître ce nom, bien qu'il semble qu'on n'en entende pas beaucoup parler depuis un moment.

Les rumeurs sur les nobles étaient celles qui couraient les plus dans les rues. S'attaquer à quelqu'un de plus haut que soit qui avait tout ce que l'on voulait était typiquement humain. Et puis, un jour son père avait rencontré un Hartcourt, peut avant sa mort...mais la jeune guerrière aux long cheveux blond effaça ce souvenir douloureux de sa mémoire. Elle n'avait pas encore fait la paix avec les souvenirs de son père, mais elle ne voulait pas les oublier. Elle savait qu'un jour, elle serait capable de les surmonter et de les chérir.

La jeune femme que François venait juste de sauver semblait très attaché au jeune homme, au sens littéral du terme. Elle était accroché à son bras.

-Apparemment, vous faites des ravages avec la gente féminine, déclara la jeune Hylienne d'un ton détaché.

Il n'y avait pas grand chance que la jeune fille tombe ainsi aux pieds d'un homme. Elle avait sa propre fierté, et tomber amoureuse ne lui avait même pas traversé l'esprit. En fait, la plupart de sa vie après la mort de son père s'était résumé à des entraînements, des projets de vengeance et des tentatives pour éliminer les sbires de Ganondorf, particulièrement Rose. Ah, et à survivre, aussi. À part cela, Maryne n'avait jamais pensé à la vie qui l'attendait après la guerre. Éliminer le seigneur du mal était, dans un certain sens, sa raison de vivre. Peut-être irait-elle s'occuper de sa mère ensuite, mais pour l'instant, la bataille était loin d'être terminé.

La jeune femme accrochée à François la regarda dédaigneusement avec un sourire moqueur.

- Jeune femme: C'est sûr que toi tu ne dois pas avoir grand chance...aucun féminisme.

Il était vrai que, malgré qu'elle des formes normales pour une jeune femme, elle portait des vêtements plutôt masculins: aucune robe, aucun ornement. Tunique, armure, bottes, cape. Ses cheveux étaient détachés et au moins pour cette fois peignés, mais aucune coiffure particulière. Et elle n'avait pas cet air charmeur, et encore moins un regard attirant, ce dernier étant plutôt froid. Mais elle n'avait pas besoin de tout ça pour suivre la voix qu'elle s'était choisi.

Nullement dérangée, Maryne eut un doux sourire, qui interloqua son interlocutrice. Elle sourait d'une telle manière après une insulte?

-Désolée, mais je ne compte pas devenir une femme facile qui se jete aux pieds des hommes.

Le sourire n'allait pas du tout avec les paroles, mais la femme la foudroya du regard. L'ignorant totalement, la jeune guerrière retourna son regard sur le jeune Hartcourt sans se préoccuper du regard des autres clients de la taverne.

-Puis-je au moins savoir votre nom? demanda Maryne d'un ton tout de même poli.

La jeune demoiselle demanda à Francois comment s'appelait-il, mais pourquoi cette question serait-elle utile pour elle ? se dit-il. Francois ne relevait jamais son identité, il pouvait juste la révéler si la personne dont il parlait donnerait d'abord son identité. La jeune femme qui était accroché à Francois ne faisait que de lui sourire avec beaucoup de charmes et de bonheur, le jeune homme se dit qu'il n'avait d'un coté et il se disait bien d'un coté de ne pas de chance avoir les filles à ses trousses, mais cette fille n'était non plus pas mal trouvait-il, mais hélas il y avait encore beaucoup plus de filles dans le grand monde ou nous vivons qui étaient encore plus charmantes et jolies que cette demoiselle, mais la jeune demoiselle qui avait les cheuveux blonds et doré n'avait pas l'air de vouloir l'aimer autant que les autres filles. Le jeune homme revenit à la question de son identité qui était sois-disante importante pour la jeune fille au cheuveu d'un blond vraiment doré.

Francois : D'abord, quel est ton prénom ?
Fille : Mais c'est moi qui t'avais posé cette question non ?
Francois : Les Hartcourt ne révèlent jamais leur identité si la personne à qui ils s'adrèssent ne leur dis points leur sienne en premier.
Fille attaché à Francois : Laisse-le tranquille ! Tu ne vois pas que tu le déranges ?
Francois : Mademoiselle, un peu de respect je vous pris, alors comment t'appelles-tu ?

Le jeune homme attendit la réponse de la jeune demoiselle avec impatience, cependant Francois ignorait que la noble famille de Hartcourt était connu à Hyrule, peut-être serait-ce parsque les deux familles nobles auraient fait une alliance ? Le jeune homme aux cheuveux en batailles pensa que c'était à cause ou plutôt grâce à celà.

Dès que la bouche de la jeune demoiselle aux cheuveux doré s'ouvrit, le jeune Hartcourt pensa qu'elle allait se plaindre car Francois ne relevait jamais son identité avant qu'il ne sache à qui il avait affaire. Mais ce ne fut pas le cas pour ce que jeune homme croyait de ce qu'allait dire la jeune demoiselle aux cheuveux très doré.

Marine : Je m'appelle...Maryne. Maryne Ehrima.
Fille attaché à Francois : Maryne? La gamine désespérée dont le père est mort et qui a décidé de se sacrifier pour une cause perdue?
Marine : Désolée, mais je ne suis plus capable de vous voir ainsi collés.
Fille attaché à Francois : Et ben tans pis pour toi sale ringarde !

Lorsque la jeune fille qui était attaché au jeune homme a dis sa, Francois se retira d'elle.

Francois : Mademoiselle, je ne pourrais plus supporter vos insultes très vulgaire.
Fille attaché à Francois : Excuse-moi, je ne le refairez plus.

La fille ressaya de se rattacher à Francois, mais hélas ce ne fut pas le cas, car Francois l'évita et la fille tomba dans le seau d'eau qui était par terre. Le jeune homme alla l'aider.

Francois : Mademoiselle, vous allez bien ?
Fille attaché à Francois : Grrrrr sale brute !

La fille essaya de gifler Francois, mais celui-ci para son coup, la jeune fille s'assoya par terre sans dire un mot.

Francois : Que celà vous serve de lecon, je suis galant mais pas avec des filles de votre genre.
Marine : Bien envoyé ! Bon on y va ?
Francois : Je te suis.
Marine : Aufaite, tu ne m'as toujours pas dis ton prénom.
Francois : Je m'appelle Francois de Hartcourt.

Et ils partèrent du bar sans dire un mot.

[Peux-tu éviter de faire parler mon personnage? Ça ne me dérange pas tant que ça, vu que ce n'est pas grand chose, mais j'aimerais bien choisir ce qu'elle dit. Tu peux dire que je réponds à quelque chose puis que tu dis autre chose, ou que je te pose une question, mais sans dire les mots exacts, d'accord? Ça sera plus simple pour moi.]

-Et ben tans pis pour toi sale ringarde !

Maryne eut soudain une très forte envie de frapper quelque chose, en fait, particulièrement la jeune femme. Mais elle savait très bien qu'elle ne pouvait rien frapper, non seulement pour les conséquences que cela lui amènerait plus tard, mais aussi car ce serait comme accorder la victoire à cette détestable femme. Derrière, bien qu'elle ne le vit pas, le jeune de Hartcourt se sépara de la jeune femme brusquement.

-Mademoiselle, je ne pourrais plus supporter vos insultes très vulgaire.

Même en repoussant quelqu'un, il restait poli, apparemment.

-Excuse-moi, je ne le referez plus!

Le ton suppliant faisait pitié à entendre. Et pourtant, le jeune homme évita la tentative de reprise de la femme aux yeux bleus et cette dernière atterrit dans le seau d'eau savonneuse. François alla tout de même l'aider. C'était bien fait pour elle, après tout! Il était temps qu'elle se rappelle qu'elle n'était pas au-dessus de tout le monde, et surtout de se mêler de ses affaires. Et finalement, ce Hartcourt n'était pas aussi pathétique qu'elle le pensait. C'était franchement une bonne chose.

-Mademoiselle, vous allez bien ?

-Grrrrr sale brute !

Apparemment, la jeune femme avait rapidement changé de décision, car elle le toisa méchamment et tenta de gifler le jeune homme, qui para habilement son coup. Voyant que sa tentative avait raté, elle ne dit plus un mot et cessa de bouger, bien qu'elle soit dans une pure colère.

-Que cela vous serve de leçon, je suis galant mais pas avec des filles de votre genre.

À cette phrase, la jeune guerrière ne put s'empêcher d'avoir un sourire moqueur. Cette jeune femme n'avait eu que ce qu'elle méritait; elle éviterait d'oublier sa place, la prochaine fois, et c'était une bonne chose. Le jeune de Hartcourt rejoint Maryne, alors que cette dernière commentait:

-Mmm...jolie coup. On va parler ailleurs?

Elle désirait franchement savoir qui il était, et s'il pouvait les aider. Un allié de plus n'était jamais de trop.

-Je te suis.

Poussant la porte, elle se retourna vers lui et demanda:

-Alors, quel est ton nom?

-Je m'appelle François de Hartcourt.

François. Un nom noble, à ne pas en douter. C'était donc bien un Hartcourt, bien qu'elle n'en eu pas vraiment douter vu sa galanterie envers la gente féminine, sa manière polie de parler et ses vêtements. Les deux personnes sortirent non nonchalamment de la taverne, ignorant les regards curieux des clients, et se dirigèrent vers la grande place.

[Tu peux continuer dans la grande place]